Une licence en biologie spécialisée en génétique à l'Université de Melbourne, puis une année de recherche à The Walter and Eliza Hall Institute sur les régulateurs épigénétiques du développement pulmonaire. Après mon Honours, je suis restée dans le même laboratoire pour une expérience professionnelle d’assistante ingénieure pendant un an.

J’ai repris les études en doctorat à l’Australian Regenerative Medicine Institute en 2015 au sein du laboratoire du Professeur Christophe Marcelle. Mon sujet de thèse portait sur un système permettant l'apport de thérapies géniques aux cellules des patients souffrant de dystrophie musculaire et sur le rôle d'un facteur de croissance des fibroblastes dans la myogenèse et l'homéostasie musculaire.

Actuellement en post-doctorat à l’INMG je poursuis mes travaux sur le développement des muscles squelettiques et la thérapie cellulaire. J’aimerais continuer dans la recherche ou travailler dans les relations internationales.

C’est d’abord deux années de classe préparatoire BCPST afin de devenir vétérinaire. Lors de ces dernières, j’ai découvert la biologie moléculaire et cellulaire qui m'a conforté dans mon choix de réorientation sur une 3ème année de licence de biologie.

S’ensuit alors deux ans de master de biologie moléculaire et cellulaire avec une spécialisation en génétique. Lors de mon stage de fin d’étude de 6 mois, j’ai intégré l’équipe « Assemblage de la chromatine, domaines nucléaires, virus » dirigée par le Dr Patrick Lomonte au sein de l’Institut NeuroMyogène. Une thématique de recherche intéressante et une bonne ambiance d’équipe m’ont encouragé à poursuivre en thèse en passant le concours de l’école doctorale avec comme sujet de thèse : « l’implication des domaines nucléaires PML dans le maintien de la latence du virus de l’herpès simplex 1 ».

Ma formation doctorale me permet d'envisager un panel de professions très diverses, que ce soit dans la recherche publique, la recherche privée, ou dans un domaine annexe, grâce à une double compétence scientifique, et commerciale ou managériale.